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			Circuits de Culture 
			avec TransAnatolie Tour  
		
		Circuits de Culture avec TransAnatolie Tour; les circuits 
		culturels TransAnatolie Tour en Turquie; Circuits de Turquie avec 
		TransAnatolie Tour 
		 
		  
		Contenu 
		
		
		TransAnatolie TA3401: 4 Jours Circuit de Culture Istanbul: Theodara: 
		Byzance –Constantinople - Istanbul 
		PAGEREF _Toc103380461 \h 1 
		
		
		Jour 1: Arrivée à Istanbul 
		PAGEREF _Toc103380462 \h 1 
		
		
		Jour 2: 
		PAGEREF _Toc103380463 \h 2 
		
		
		Jour 3: 
		PAGEREF _Toc103380464 \h 3 
		
		
		Jour 4: 
		PAGEREF _Toc103380465 \h 3 
		
		
		Prix. 
		PAGEREF _Toc103380466 \h 3 
		
		
		Excursions Facultatives 
		PAGEREF _Toc103380467 \h 3 
		
		
		Dans les prix sont compris 
		PAGEREF _Toc103380468 \h 4 
		
		
		Dans les prix ne sont pas 
		PAGEREF _Toc103380469 \h 4 
		
		
		Théodora, femme de Justinien. 
		PAGEREF _Toc103380470 \h 4 
		
		
		Justinien. 
		PAGEREF _Toc103380471 \h 6 
		
		
		TransAnatolie Tour: Multilingual Cultural Tour Provider and Operator. 
		PAGEREF _Toc103380472 \h 15 
		  
		  
		accueil, visite panoramique de la ville, les doubles murailles 
		romano-byzantines de l’époque de Constantin le Grand et de Thédosios le 
		Grand. 
		Contemplation de Sept Tour- Sept Prisons ottomanes ou restaient enfermés 
		les sultans ottomans déstitués attendant leur tour d’étranglement pour 
		le salut du trone d’apres les lois impériales mises en vigeur par Mehmet 
		le Conquérant d’Istanbul; Fatih.  
		Diner et logement a Hotel Armada 4*-Boutique ou similaire.
		
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		Matin: Apres le buffet du petit déjeuner, découverte de la Corne d’Or et 
		du Quartier Pierre Loti, visite u Cimetière Impérial Ottoman et de la 
		Mosquée d’Eyüp; Quartier le plus typique d’Istanbul qui est en meme 
		temps Quartier de Pélérinage du Monde Musulmane. Promenade sur les 
		Remparts romano byzantin ainsi que visite de l’Eglise Saint Sauveur in 
		Cora et de la Mosquée de Mihrimah Sultan, Princesse de Soliman le 
		Législateur des Turcs et Soliman le Magnifique des Français. 
		Déjeuner près du Cirque Romain dans un restaurant turco-grec. 
		Après-midi: Visite de l’Eglise-Mosquée-Musée Sainte Sophie et du Palais 
		de Topkapı, ainsi que son Harem et  ses salles de Trésors. 
		Pour terminer la journée ballade au Grand Bazar. 
		Hagia Sophia als moskee (met minaretten en met een halve 
		maan op de centrale koepel) Binnenzicht Hagia Sophia 
		Apres etre reposé un peu a l’hotel, nous réalisons le programme 
		d’Istanbul by night avec un programme Son et Lumieres( du mois de Mai au 
		mois de Septembre), la visite de la Mosquée de Soliman le Magnifique  et 
		soirée pecheur a Kumkapı. 
		Logement a notre Hotel Armada 4*- Boutique ou similaire 4*.  i 
		Matin: Visite de l’Hippodrum puis le Palais d’Ibrahim Pacha et son Musée 
		Ethnographique, la Citerne Basilique, ensuite traversée de la Place 
		Sultan Ahmet et visite de la Mosquée Bleue, familiarisation  avec les 
		produits culturels du pays:Tapis-Bijoux-Cuir. Déjeuner 
		dans un restaurant mésopotamien. 
		Après-midi: Visite du Marché Egyptien et de la Brocante. 
		Croisiere sur Détroit du Bosphore en longeant a la fois la Rive 
		Europhéenne du Bosphore et la Rive Asiatique pleine de maisons en bois 
		dites Yali. 
		Logement a l’hotel Armada 4*- Boutique ou similaire.
		
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		Apres le buffet du petit déjeuner, journée libre selon les horaires de 
		retour. 
		Gouter de baklava et au revoir a un autre circuit culturel de 
		Transanatolie Tour.
		
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		Prix des Voyages, Circuits TransAnatolie en Turquie, 
		Produits de voyage en Turquie 
		ou  
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		Contact TransAnatolie. 
		
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		Diner spectacle au Cabaret Gar  Ou bien au Caravanserail 
		Night Club- a la Tour de Galata- Orient House Istanbul  
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		Turkish Belly Dance.
		
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		4 J /3 nuit a İstanbul 
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		a l’Hotel Armada 4*- Boutique ou similaire en pension 
		complete, 
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		Transport en Turquie pour le programme a Istanbul: 
		Mercedes Wito-Sprinter, WW.Wolt-Mercedes, bus: Mercedes 
		403/Intro/Mitsubishi-Safir-Isizu Turquoise. 
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		2 Déjeuners dans les restaurants de specialités, 
		prestation en pension complete avec le diner du premier soir et le petit 
		déjeuner du dernier jour. 
		·       
		Les entrées des visites prévues. 
		·       
		Service d’un guide national conférencier universitaire 
		parlant la langue du groupe.
		
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		L’Avion A/R Europe/Istanbul 
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		Les assurances, Taxe d’Aéroport 
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		Boissons et pourboires.
		
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		Tous les droits sont réservés pour 
		TransAnatolie Tour 
		L'impératrice Théodora (début VIe siècle-548), d'après un détail d'une 
		mosaïque de Ravenne.Théodora (vers 500 - 548) est une impératrice de 
		l'empire byzantin, femme de Justinien. D'humble origine, elle est semble 
		t-il la fille d'Acacius, un dresseur d'ours attaché au cirque de 
		Constantinople. Avant de devenir la maîtresse du futur empereur 
		Justinien elle est, selon Procope de Césarée, danseuse et courtisane. 
		Pour épouser Théodora, de 17 ans sa cadette, Justinien obtient de son 
		oncle l'empereur Justin Ier l'abrogation d'une loi qui interdisait à un 
		sénateur de se marier avec une courtisane. 
		Mariée en 523 à Justinien, alors magister militum praesentalis, elle 
		revêt la pourpre en même temps que lui en 527 dans la basilique 
		Sainte-Sophie ce qui l'associe pleinement à l'Empire et fait d'elle une 
		impératrice pleine et entière. Elle conseille souvent Justinien, en 
		particulier dans le domaine religieux, et sauve la situation en janvier 
		532 lors de la sédition Nika par une attitude courageuse et énergique, 
		qui tranche avec celle de Justinien, préférant « mourir dans la pourpre 
		» que de céder face à la populace. Avec l'aide de Narsès 
		et de Bélisaire la sédition est écrasée. 
		Sa vie privée, une fois sur le trône, est irréprochable bien que Procope 
		dans son Histoire Secrète fasse de Théodora une véritable érotomane. 
		Cependant, les exagérations de Procope, si tant est que l'Histoire 
		secrète soit réellement de lui, sont certainement à mettre sur le compte 
		d'une opposition politique à une femme qui selon une rumeur probablement 
		exagérée, gouvernait son mari et par là-même tout l'empire. Attaquer une 
		femme sur sa vertu est un moyen commode de la discréditer. 
		En réalité elle fait prendre à Justinien des mesures énergiques contre 
		les propriétaires de maisons de tolérance et dépense de fortes sommes 
		pour aider les prostituées, rachetant certaines d'entres elles et en 
		fondant une maison pour « pécheresses » repenties. 
		Théodora est moins heureuse dans le choix de ses favoris et certaines de 
		ses interventions sont pour le moins maladroites. Ainsi après avoir 
		couvert les débordements d'Antonine, la femme de Bélisaire, elle se 
		brouille avec elle et fait rappeler Bélisaire d'Italie à un moment 
		critique. Elle privilégie les hommes qui lui sont dévoués même s'ils 
		sont incompétents. 
		Dans le domaine religieux, alors que Justinien penche pour l'orthodoxie 
		et un rapprochement avec Rome, Théodora reste toute sa vie favorable aux 
		monophysites et réussit à infléchir, du moins jusqu'à sa mort, la 
		politique impériale. 
		Théodora meurt en 548, 17 ans avant Justinien, d'une maladie dont les 
		symptômes ressemblent à ceux d'un cancer du sein. Son corps fut enterré 
		dans l'église des Saints-Apôtres à Constantinople. 
		Avec son mari, elle est une sainte de l'Église orthodoxe commémorée le 
		14 novembre. 
		Riccardo Freda lui a consacré un film en 1952 : Teodora, imperatrice di 
		Bisanzio avec Gianna Maria Canale dans le rôle de Théodora et Georges 
		Marchal dans celui de Justinien. 
		Justinien, mosaïque de la basilique San Vitale de Ravenne, avant 
		547Justinien Ier (né le 11 mai 483 en Illyrie - mort le 13 novembre 565) 
		est empereur byzantin de 527 à 565. Il est l’un des plus importants 
		dirigeants de l’Antiquité tardive. Que ce soit sur le plan du régime 
		législatif, de l’expansion des frontières de l’Empire ou de la politique 
		religieuse, il laisse une œuvre et une vision considérables. 
		La fin d’une époque 
		Le long règne de Justinien, près de 40 années, ne marque pas, 
		contrairement à ce qui est souvent avancé, le début d’une ère nouvelle 
		mais représente la dernière tentative du vieil Empire romain pour 
		refaire l’unité impériale, tant par la reconquête militaire que par la 
		codification du droit et la volonté d’imposer le pouvoir du souverain à 
		l’Église. Les indéniables succès du règne vont, en particulier dans le 
		domaine militaire et territorial, se révéler sans lendemains car 
		démesurés pour les structures et les ressources de l’Empire. Ce n’est 
		qu’au prix de profondes transformations sociales et politiques, qui en 
		font l’empire byzantin sous le règne d’Héraclius, que celui-ci trouvera 
		les moyens de surmonter les nombreux adversaires et dangers auxquels il 
		est confronté. 
		Origines, formation et caractère 
		Justinien (Flavius Petrus Sabbatius Justinianus) est né en Illyrie le 11 
		mai 483 à Taurésium (Justiniana Prima), (près de l’actuelle Leskovac) 
		dans une famille assez modeste d’Illyriens romanisés. Sa chance est 
		d’être le neveu d’un soldat à qui une brillante carrière permet 
		d’accéder au trône impérial en 518 sous le nom de Justin Ier, succédant 
		à l’empereur Anastase Ier. 
		Justin adopte son neveu et lui fait donner, alors qu’il est lui-même 
		sans grande culture, la meilleure éducation possible — l’éducation 
		d’alors se base sur le droit, la rhétorique et la théologie. Devenu 
		empereur, Justin associe rapidement Justinien aux affaires et le nomme 
		patrice puis consul. Il est rarissime dans l’histoire politique 
		byzantine de voir un homme né aussi loin du trône, à ce point préparé à 
		régner. Quand il accède au pouvoir en 527, à l’âge de 45 ans, c’est un 
		homme mûr à la personnalité contrastée. 
		En effet Justinien possède d’indéniables qualités : un grand sens de 
		l’État et de l’idée impériale, une forte puissance de travail, une 
		relative simplicité de mœurs assez atypique pour l’époque (il est 
		végétarien et ne boit pas d’alcool), et une culture réputée. Ses 
		qualités intellectuelles sont cependant parfois gâchées par un caractère 
		soupçonneux, influençable, un autoritarisme qui se change brutalement en 
		pusillanimité (comme lors de la sédition Nika) et, surtout après la mort 
		de l’impératrice Théodora en 548, un manque de persévérance dans 
		l’action. 
		Il sait aussi, et c’est une de ses qualités premières, s’entourer de 
		collaborateurs remarquables, quoique souvent sans scrupules, tels 
		Bélisaire, Narsès, Tribonien ou le préfet du prétoire Jean de Cappadoce. 
		Justinien n’hésite pas à favoriser les hommes en qui il a confiance, 
		l’exemple de Narsès, eunuque d’extraction modeste devenu l’un des plus 
		grands chefs militaires de son temps en est la meilleure illustration. 
		Enfin, et même s’il ne faut pas exagérer son influence, le rôle de 
		Théodora, ancienne actrice de très humble origine (à tel point que 
		Justin Ier fit modifier la loi interdisant à un sénateur d’épouser une 
		actrice pour permettre le mariage de son neveu), épouse de Justinien 
		depuis environ 523, est indéniable.il est l'empereur romain qui va 
		essayer de recontruire l'Empire Romain 
		Politique extérieure 
		Paix avec la Perse sassanide 
		Dès le début de son règne Justinien semble avoir comme objectif de 
		reconstituer l’ancien empire romain autour de la Méditerranée. Mais pour 
		cela il doit d’abord mettre fin à la lutte contre la Perse dont les 
		troupes sont aux portes d’Antioche en 529. Bélisaire remporte quelques 
		succès entre 529 et 531 mais Justinien préfère finalement en 532 acheter 
		la paix qui lui est nécessaire pour réaliser ses objectifs de reconquête 
		en Occident. 
		Guerre contre les Vandales 
		L’empereur s’attaque dans un premier temps au royaume 
		des Vandales en Afrique du Nord. Il craint que la flotte de ces 
		derniers ne pertube plus tard ses opérations militaires en Italie et les 
		liaisons commerciales. Outre cet aspect il y a une raison plus politique 
		: Hildéric, roi des Vandales vient d’être renversé par Gélimer. Hildéric 
		était le représentant de la tendance pro-byzantine et favorable à un 
		rapprochement. Aussi Bélisaire à la tête d’une forte armée pour l’époque, 
		sans doute 18 000 hommes, débarque entre Sfax et Sousse en 533. La 
		bataille de l’Ad Decimum en 533, puis le 15 septembre 533 la prise de 
		Carthage et du roi Gélimer sonnent le glas du royaume fondé par Genséric. 
		Dans la foulée les armées byzantines s’emparent de la Corse, de la 
		Sicile et de la Sardaigne. 
		Guerre contre les Ostrogoths 
		L’assassinat, par son mari Théodat, de la fille de Théodoric Ier le 
		Grand, la reine Amalasonte, est le prétexte évoqué par Justinien pour 
		envahir l’Italie en 535. Deux armées prennent en 
		tenaille les armées des Ostrogoths, l’une venant de Dalmatie l’autre de 
		Sicile, sous la direction de l’indispensable Bélisaire. Celui-ci 
		s’empare de Naples, puis occupe Rome le 10 décembre 536 et enfin Ravenne 
		en 540 malgré la résistance opiniâtre du nouveau roi Vitigés. Ce dernier 
		est fait prisonnier et envoyé à Constantinople où Justinien le traite 
		avec honneur. Mais l’empereur commet l’erreur en 540 de disgracier 
		Bélisaire, dont il craint visiblement la popularité et qu’il avait déjà 
		tenté de contrôler en lui envoyant Narsès comme second vers 538. 
		L’échec cuisant de cette tentative avait abouti au rappel de Narsès un 
		an plus tard. 
		En 540 le rappel de Bélisaire dans la capitale, où il se voit confier 
		des missions plus honorifiques que de réels commandements, correspond 
		aussi à une nouvelle offensive de la Perse dans le Caucase et en Syrie. 
		La paix n’est définitivement signée qu’en 562 et aboutit à une 
		progression de l’influence byzantine en Arménie et dans le Caucase. 
		Toujours en 540, la capitale est menacée par les Bulgares dont Justinien 
		ne se débarrasse qu’en lançant contre eux les Avars qui vont s’établir 
		dans la vallée du Danube. Ces difficultés permettent aux Ostrogoths, 
		dirigés par Totila, de reprendre l’offensive et de vaincre à deux 
		reprises les Byzantins (Faenza, puis Mugillo en Italie centrale). La 
		ville de Naples est reprise en 543, celle de Rome le 17 décembre 546. 
		Il faut attendre l’arrivée de Narsès en 552 pour voir la situation 
		tourner à l’avantage des troupes de Justinien. Narsès, seul commandant 
		en chef cette fois et pourvue d’une forte armée, se révèle un excellent 
		chef de guerre et inflige aux Ostrogoths la défaite de Taginae (552) en 
		Ombrie où Totila est tué. Les dernières résistances sont balayées en 553 
		au mont Lactarus, près du Vésuve, où leur dernier roi, Téias est tué. En 
		555 Narsès écrase une invasion alamande près de Capoue. L’Italie est 
		redevenue romaine mais au prix de la ruine de la péninsule. 
		Profitant de l’appel à l’aide du roi wisigoth Athanagild en lutte contre 
		un compétiteur, Agila Ier, Justinien se fait céder pour prix de son 
		soutien l’ancienne province de Bétique (l’actuelle Andalousie) en 554 et 
		impose la suzeraineté byzantine au royaume des Wisigoths. 
		Justinien est le dernier empereur à avoir tenté de 
		réunir les deux parties de l’ancien Empire romain. Ses 
		successeurs, s’ils ne renonceront pas au titre, prendront acte de la 
		séparation définitive entre l’Orient et l’Occident. 
		Politique intérieure  
		Œuvre législative et administrative 
		Illustration pour les Institutiones Imperiales. Justinien trône au 
		centre de la gravure (XVIe siècle)À son accession au pouvoir Justinien 
		trouve une situation économique et financière saine grâce à la sage 
		politique suivie par ses prédécesseur tels Anastase Ier. Cela lui laisse 
		les mains libres afin d’appliquer son programme de restauration et 
		d’unification du monde romain. Dès le début de son règne il s’applique à 
		une grande réforme juridique. 
		Diverses commissions, dirigées par le juriste Tribonien, compétent mais 
		détesté pour sa vénalité, sont chargées de remettre de l’ordre dans 
		l’ensemble des constitutions impériales publiées depuis Hadrien. Cette 
		réorganisation, le Corpus Juris Civilis, est ce que nous appelons le 
		Code Justinien (529) écrit en latin, la langue vernaculaire de l’Empire 
		romain, qui n’était pas compris par la plupart des citoyens de l’empire 
		d’Orient. Une seconde version, le Codex retitae praelectionis, la seule 
		que nous ayons, celle de 529 étant perdue, est publiée en 534. 
		En 533 est publiée aussi le Digeste (ou Pandectes), qui correspond à une 
		modernisation de toute la législation antique ainsi qu’à une synthèse de 
		la jurisprudence antique. À cela s’ajoute un manuel pour enseigner le 
		droit, les Institutes (533). Enfin les lois nouvelles, voulues par 
		Justinien, les Novelles, sont écrites en grec, la langue véhiculaire de 
		l’empire, après 534. Cette œuvre législative prend une importance 
		fondamentale en Occident car c’est sous cette forme reçue de Justinien 
		que l’Occident médiéval, à partir du XIIe siècle adopte le droit romain. 
		Justinien entreprend aussi de nombreuses réformes administratives, 
		contenues surtout dans les grandes Novelles de la période 535-536. Leur 
		objectif est essentiellement de renforcer le pouvoir de l’empereur en 
		démembrant les grands offices, de lutter contre l’inquiétant 
		développement de la grande propriété foncière ainsi que contre la 
		corruption endémique des fonctionnaires impériaux. Aussi, souvent pour 
		des raisons fiscales, Justinien regroupe diverses provinces, considérées 
		de taille insuffisante et, afin de simplifier l’administration locale, 
		supprime un certain nombre de diocèses et regroupe parfois, comme en 
		Égypte agitée par des troubles réguliers, les pouvoirs civils et 
		militaires entre les mains de commandants militaires. 
		Politique religieuse 
		Justinien fut un des premiers empereurs à être représenté avec une croix 
		sur la face d’une pièceJustinien fut un des premiers empereurs à être 
		représenté avec une croix sur la face d’une pièceJustinien se conçoit 
		comme l'élu de Dieu, son représentant et son vicaire sur la terre. Il se 
		donne pour tâche d’être le champion de l’orthodoxie dans ses guerres ou 
		dans le grand effort qu’il fait pour propager la foi orthodoxe, soit 
		dans la façon dont il domine l’Église et combat l’hérésie[1].Il veut 
		gouverner l’Église en maître, et en échange de la protection et des 
		faveurs dont il la comble, il lui a impose sa volonté, se proclamant 
		nettement empereur et prêtre. [2]. L’action législative de Justinien 
		s’inscrit donc dans la durée avec une attention toute particulière pour 
		l’Église. En effet l’empereur est un chrétien sincère et 
		il s’estime, dans la tradition césaropapisme héritée de Constantin Ier, 
		le dirigeant suprême de l’Église. Le christianisme est, d’un 
		point de vue institutionnel et juridique, religion d’État. C’est en cela 
		qu’il règle avec une minutie pointilleuse les conditions de recrutement 
		des membres du clergé, leurs statuts, l’organisation de l’administration 
		des biens ecclésiastiques. C’est lui qui légalise le contrôle des 
		évêques sur les autorités civiles locales, ce qui a comme curieuse 
		conséquence d’atténuer les excès centralisateurs de nombre de ses 
		décisions. En effet les notables provinciaux, qui participent aux 
		élections épiscopales, peuvent ainsi exprimer leurs avis et contrôler 
		pour partie l’emploi de certains fonds publics. 
		Justinien est confronté aux dernières résurgences du paganisme contre 
		lequel il agit avec vigueur. C’est ainsi qu’il met fin à l’Académie de 
		Platon à Athènes, alors présidée par Damase et interdit l’adoration des 
		dieux païens en particulier dans certaines régions reculée de l’Anatolie. 
		Il persécute les Juifs bien que la contrainte employée ne donne guère de 
		conversions. 
		C’est aux dissensions internes aux Églises chrétienne que Justinien 
		tente de mettre fin pour maintenir la cohésion de l’Empire. C’est 
		pourquoi il tente un rapprochement avec les monophysites, nombreux dans 
		la partie orientale de l’empire (en Syrie et en Égypte), d’autant que 
		les convictions religieuses de Théodora sont notoirement proches de ces 
		derniers. L’impératrice en 537 n’hésite pas à ordonner à Bélisaire, qui 
		combat alors en Italie, de s’emparer du pape Silvère pour le remplacer 
		par Vigile supposé moins intransigeant envers ce que la papauté 
		considère comme une hérésie. Cependant Justinien doit aussi composer 
		avec les divers papes dont il a besoin dans son entreprise de reconquête 
		de l’Italie. 
		Cette politique de bascule s’illustre dans l’affaire dite des Trois 
		Chapitres. Justinien fait condamner la mémoire de trois théologiens 
		détestés par les monophysites, dans l’espoir de rallier ces derniers à 
		l’Église officielle, sous l’accusation de nestorianisme (Théodore de 
		Mopsueste, Ibas d’Édesse et Théodoret de Cyr). Le Ve concile œcuménique 
		de 553 qui officialise cette condamnation voit ses décrets fort mal 
		accueillis en Occident, surtout par le pape Vigile que Justinien fait 
		enlever afin de le contraindre à accepter les Trois Chapitres, sans pour 
		cela rallier les monophysites. 
		Politique générale 
		Il reconstruit l’église de Sainte-Sophie, détruite dans 
		la sédition Nika en janvier 532. Bien plus tard, en 1054, la basilique 
		nouvelle deviendra l’un des cœurs de l’orthodoxie à Constantinople. 
		Prospérité commerciale et vie culturelle et artistique 
		Justinien représenté sur une mosaïque de l’église 
		San-Vitale à RavenneJustinien représenté sur une mosaïque de l’église 
		San-Vitale à RavenneLa destruction du royaume vandale, et la baisse de 
		la piraterie qui en découle, entraîne un dynamisme économique plus fort. 
		Les marchands d’Égypte et de Syrie entretiennent un commerce assez 
		dynamique avec l’Occident dont la Gaule mérovingienne où ils vendent de 
		l’huile, des fruits secs, des vins réputés, des verreries de Syrie et du 
		papyrus. L’empire est ravitaillé en esclaves par la Mer Noire. Il 
		entretient des relations commerciales avec Ceylan par l’intermédiaire du 
		royaume éthiopien d’Axoum, avec la Chine par la route de la soie. La 
		nécessité d’approvisionner les ateliers byzantins en soie, et la volonté 
		de contourner la Perse des Sassanides, explique en partie la politique 
		entreprise par Justinien pour faire entrer les peuples caucasiens dans 
		la sphère d’influence de l’empire. À partir de 552-553, 
		grâce à des vers à soie importés clandestinement de Chine, Byzance 
		commence d’ailleurs elle-même à produire de la soie. Il faut noter 
		cependant que l’empire, et les relations économiques, sont profondément 
		perturbés par une grande épidémie de "peste", à qui d’ailleurs les 
		historiens donnent le nom de peste de Justinien. 
		La vie culturelle est intense sous Justinien et profondément marquée par 
		la personnalité et les préoccupations de l’empereur. On retrouve chez 
		l’historien Procope, qui écrit l’histoire du règne de Justinien, cette 
		recherche de la grandeur romaine qui anime le couple impérial (dont 
		pourtant il médit beaucoup). Les hymnes (poésie religieuse) de Romanos 
		le Mélode sont un écho fidèle de la foi chrétienne profonde, 
		quoiqu’intolérante, de Justinien et Théodora. Il fait reconstruire 
		Antioche, sous le nom de Théopolis après sa destruction par un terrible 
		tremblement de terre en 526 et le pillage de la ville par les Perses en 
		538. 
		Le bâtisseur 
		Justinien est aussi un grand bâtisseur. Il a fait construire l’église 
		Sainte-Sophie à Constantinople (dédiée à la Sagesse divine, Sophia en 
		grec) à l'aide de 2 architectes, 100 maîtres maçons et 10000 ouvriers.
		Elle est élevée entre 532 et 537 par Anthemius de 
		Tralles et Isidore de Milet. La première coupole s’étant effondrée en 
		558, une seconde est refaite en 562. Mais dans tout l’empire Justinien 
		finance la construction de villes, de ponts, de thermes, de routes. 
		Justinien meurt le 15 novembre 565 après avoir désigné son neveu, Justin 
		II, comme successeur. 
		Justinien et Théodora sont représentés dans leurs ornements impériaux, 
		avec les dignitaires de leur cour par deux fameux panneaux de mosaïque 
		dans la basilique San Vitale à Ravenne.
		
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            Les archéologues, les historiens d’art présentent la Turquie comme le berceau de 
nombreuses civilisations, comme un carrefour de diverses cultures, comme le pays 
natal du blé, comme le pays natal de l’alliage.Découvrir la Turquie, c’est de faire connaissance à la fois avec le monde
de la première Déesse Mère de Çatalhoyuk-Konya, avec les premières
capitales des Hittites: Acemhoyuk–Hattusas, avec Hector, Achille, Päris, la
Belle Hélène et l’histoire du Cheval de Troie, avec Ulysse, l’Iliade et
l’Odyssée, avec le Monde gréco-romano-anatolien d’Aspasie, muse de la
democratie de Perikles et avec Thales de Milet, avec Apollon de Didymes, avec
Athéna à Priene, avec Artémis et Héraclite d’ Ephese, avec Homère de
    Smyrne sans oublier Byzance–Constantinople–Istanbul.
 TransAnatolie a l’ambition de vous faire découvrir ce merveilleux pays avec une 
approche fondamentalement différente des habitudes du tourisme de masse, des 
habitudes des sentiers battus.
 
			Voyager en Turquie avec TransAnatolie vous plongera dans le bain de trois
grandes religions monothéistes. L’Arche de Noé sur le Mont Ararat ainsi qu’Abraham à Harran et a
    Urfa,
l’ancienne Edesse, vous parleront de l’Ancien Testament. La grande tolérance des Ottomans s’est manifestée pour les Juifs de
l’Espagne mis a la porte pendant la Reconcista Par Isabelle de Castille et
Ferdinand II d’Aragon. Ensuite, ce fut Solïman le Magnifique qui avait fait libérer le Roi de
France, François 1er des prisons de Charles Quin. Le Nouveau Testament peut être suivi à la trace sur les Pas de Saint Paul
et dans les premières églises en Cappadoce, Phrygie, Lydie, Tarse, Antioche,
Psydie et a Ephèse. Voyager en Turquie avec Transanatolie nous montrera l’affection toute
maternelle de la Vierge Marie, a l’Eglise Tokalı dans La Vallée de Mille
et Une Eglises a Göreme. La Vierge Marie, la Mère Myriam des Turcs musulmans. Nous admirerons les danses des Derviches Tourneurs en voyage avec
    TransAnatolie. Nous rencontrerons également la richesse de Crésus, l’espérance
d’immortalité de Gilgamische en Mésopotamie, celle de Memed (Mehmet)
d'Acemhoyuk, sysyphe Anatolien, l’amour de l’Euphrate pour le Tigre sans
oublier les délices de la cuisine turque, l’une des meilleures du Monde. Pendant votre voyage en Turquie, vous trouverez les traces de Darius et
d’Alexandre le Grand tout en faisant connaissance avec le noeud gordien des
tapis turcs-Taspinar, les épices de l’Orient, les merveilles du Monde, les
oiseaux et les plantes rares du Lac Salé, de la Plaine Yesilova-Eskil-Esmekaya,
le monstre du lac de VAN, les caravansérails et les ponts de Marco-Polo sur la
route de la soie,vous trouverez de nouveau votre santé dans les centres
thalasso-termaux: Pamukkale, Kütahya,Ankara Haymana- Kızılcahamam,
Belek-Kemer, Afyon, Bursa, Yalova, Nigde-Ulukisla, Çiftehan, Narligol,
Kemerhisar Tyana Kosk, Kocapinar-Ferhenk, Sivas, Gönen, Emet, Oylat, Hisarcık,
Bolu, Çeşme, Dalyanköy, Ilgın, Aksaray, Ziga. Le Chien Kangal de Sivas, le coq de Denizli, les loups de Cappadoce, les
soldats de Tamerlan et les bergers du Mont Ararat seront les elans de votre
voyage en Turquie avec TransAnatolie. La Turquie européenne de Mustafa Kemal Ataürk vous accueillera en joignant
les normes de l’Occident aux charmes de l’Orient. 
			
			
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			TransAnatolie Tour en Turquie:   
			
			 
			TransAnatolie TourLicence AG du Ministère Turc de la Culture et du Tourisme N° 4938
 
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