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			Circuits de Culture 
			avec TransAnatolie Tour  
		
		Circuits de Culture avec TransAnatolie Tour; les circuits 
		culturels TransAnatolie Tour en Turquie; Circuits de Turquie avec 
		TransAnatolie Tour 
		 
		  
		Contenu 
		
		
		TransAnatolie TA3409: Circuit de Culture: Istanbul-Edirne-Çanakkale-Truva-Bergama-Bursa: 
		9 Jours: Le Meilleur de l'Ouest 
		PAGEREF _Toc103427965 \h 1 
		
		
		1er jour: Europe-Istanbul 
		PAGEREF _Toc103427966 \h 2 
		
		
		2eme jour: Istanbul-Capitale de cinq Civilisations 
		PAGEREF _Toc103427967 \h 2 
		
		
		Jour 3: Istanbul 
		PAGEREF _Toc103427968 \h 4 
		
		
		4eme jour: Istanbul 
		PAGEREF _Toc103427969 \h 4 
		
		
		5eme jour: İstanbul-Edirne-Uzunköprü-Dardanelles-Çanakkale  
		PAGEREF _Toc103427970 \h 4 
		
		
		6eme jour: Çanakkale-Truva- Pergame. 
		PAGEREF _Toc103427971 \h 5 
		
		
		7eme jour: Ayvalık Pergame-Bursa. 
		PAGEREF _Toc103427972 \h 5 
		
		
		8eme jour: Bursa-Istanbul 
		PAGEREF _Toc103427973 \h 6 
		
		
		9eme jour: Istanbul-Europe. 
		PAGEREF _Toc103427974 \h 6 
		
		
		Prix. 
		PAGEREF _Toc103427975 \h 6 
		
		
		Sont Compris dans les prix. 
		PAGEREF _Toc103427976 \h 6 
		
		
		Ne sont pas compris dans les prix. 
		PAGEREF _Toc103427977 \h 7 
		
		
		Pergame: (Villes Antiques, Bergama, Pergamum, Pergamom, Anatolie, 
		Turquie) 
		PAGEREF _Toc103427978 \h 7 
		
		
		TransAnatolie Tour: Multilingual Cultural Tour Provider and Operator. 
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		Arrivée, transfert, tour d'orientation le long des 
		Murailles Byzantines avec l'arret a Yedi Kule, Sept Tours, coctail de 
		bienvenu, diner et logement a notre hotel 4* soit dans la vielle ville, 
		Quartier de Théodora-Roxane, soit dans le coté de Taksim-Beyoglu, le 
		Quartier de Mata Hari. 
		
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		Le matin: Découverte de la Corne d’Or et du Quartier Pierre Loti, visite 
		du Cimetière Impérial Ottoman et de la Mosquée d’Eyüp; promenade pres 
		des Remparts Romano-Byzantin ainsi que visite de l’Eglise Saint Sauveur 
		in Chora, de l'Eglise Saints Serges et Bacchus. 
		Déjeuner près du Cirque Romain dans un cabaret mésopotamien ou chez le 
		Restaurant de Soliman le Magnifique dans le complex de la Mosquée de 
		Soliman le Magnifique. 
		Après-midi: Visite de l’Eglise-Mosquée-Musée Sainte Sophie,le reve de 
		l’Impératrice Théodora et du Justinien 1er, l’Empereur du Code Civil 
		Romain. Visite également du Palais Impérial des Ottomans:Topkapı (visite 
		facultative du Harem ), on termine la journée avec une ballade au Grand 
		Bazaar. 
		Dîner et logement à l’hôtel ****. 
		Possibilités d’excursions facultatives pour la soirée: 
		Istanbul by night ou bien soirée chez les pêcheurs-Tziganes a Kumkapı 
		avec l'animation des rues dansant a la turque ou Dîner spectacle au 
		Cabaret Gar ou bien a Orient House. 
		Un extrait de l’Epopée de Gilgamesch: 
		" La courtisane enleve ses vetements 
		Dévoile ses seins, dévoile sa nudité 
		Et Enkidou se rejouit des charmes de son corps. 
		Elle ne se dérobe pas, elle provoque en lui le desir. 
		Elle enleve ses vetements 
		Et lui, Enkidou tombe sur elle. 
		Elle apprend a cet homme sauvage et innocent 
		Ce que la femme enseigne. 
		Il la possede et s’attache a elle. 
		Six jours et sept nuits Enkidou sans cesse 
		Possede la courtisane . 
		Enkidou ne connait pas le pain comme nourriture, 
		Ne connait pas la boisson forte 
		Il a grandi en tetant le lait des betes sauvages. 
		La courtisane lui dit : 
		Mange du pain , Enkidou, 
		Le pain est l’élement de la vie 
		Bois de la boisson forte 
		C’est la coutume des gens du pays ". 
		" SIDURI-   
		  
		Ou vas-tu ,Gilgamısh ? 
		La vie que tu cherches 
		Tu ne la trouveras pas . 
		Lorsque les grands dieux créerent les hommes , 
		 C’est la mort qu’ils leur destinerent 
		Et ils ont gardé pour eux la vie éternelle, 
		 Mais toi, Gilgamısh 
		Que sans cesse ton ventre soit repu 
		Sois joyeux nuit et jour 
		Danse et joue 
		Fais chaque jour de ta vie 
		Une fete de joie et de plaisirs 
		Que tes vetements soient propres et somptueux 
		Lave ta tete et baigne- toi 
		Flatte l’enfant qui te tient par la main 
		Rejouis l’épouse qui est dans tes bras. 
		Voila les seuls droits que possedent les hommes " 
		L’Epopée de Gilgamesh, traduit , par A. Azrie (48). 
		
		
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		Matin: Visite de l’Hippodrome de Courtisane Théodora, du Palais 
		d’Ibrahim Pascha et de son Musée Ethnographique dite Musée de l'Art 
		Islamique, ensuite traversée de la Place Sultan Ahmet et visite de la 
		Mosquée Bleue ainsi que la Citerne Basilique. 
		Déjeuner dans un restaurant turco-grecque. 
		Après-midi: Visite du Marché Egyptien et de la Brocante.
		Possibilité facultative d’une croisière sur le Bosphore. 
		Familiarisataion avec de l'art arménien qui est fort pour les bijoux. 
		Dîner et logement à l’hôtel****. 
		
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		Matin: Visite des Musées d’Archéologie et des Antiquités Orientales de 
		Cinili Kosk. 
		Déjeuner au Restaurant de la Gare de l'Orient Express. 
		Apres midi,familiarisation avec les produits culturels du pays:Tapis, 
		Cuir. 
		Diner et logement a notre hotel****.
		
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		Apres le petit déjeuner départ pour la deuxieme Capitale Ottomane; 
		Andrinople-Edirne, réputée pour la lutte a l’huile.Visite de Selimiye, 
		chef d’oeuvre de Sinan, Maitre Architecte de Soliman le Législateur 
		nommé par les français comme Soliman le Magnifique. Ballade au Bazar- 
		Caravansérail de Rustem Pacha, Grand Vizir et le gendre de Soliman. 
		Visite du Complex social du Sultan ottoman Bazajet 2. 
		Déjeuner a Edirne. Apres midi, départ pour les Dardanelles via Uzunköprü-le 
		Pont Long d’une longeur de 1392 m. Traversée des Dardanelles, Diner et 
		logement Eceabat ou a Çanakkale. Hotel *** ou ****.
		
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		Apres le petit déjeuner, flannerie dans les petites rues de Çanakkale 
		pour le contact avec la population locale. 
		visite du fabuleux site:Troie, faire la connaissance de l’amour de Paris 
		et la Belle Helene de Troie, voir courir Achile derriere Hektor le long 
		des Murailles de Troie d’apres l’Iliade et Odysée de Homere d’Izmir. 
		Déjeuner a Tusan Motel non loin de Troie et apres midi départ pour 
		Pergame, ville des trésors d'Alexandre le Grand et de parchemin. 
		Détente a Ayvalık au bord de la Mer Egée en face de 
		l'Ile Lesbos. 
		Diner et logement a Kalif Otel ***+
		
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		Apres le buffet du petit déjeuner a notre hotel avec le mistral de la 
		Mer Egée, visite de Pergame: l'Acropole et l'une des sept premieres 
		eglises de l'Apocalypse de Saint Jean. découverte de l’une de 7 
		Premieres Eglises de l’Apocalypse, de la Révelation, la Cour Rouge de 
		Bergama, Temple de Sérapis. Visite de l’Acropole des cousins d’Alexandre 
		le Grand: Philetere-Eumene-Attale, Temple de Trajan et Hadrien, 
		Bibliothéque de Pergame, les ateliers de Papyrusse, Temple d’Athéna, 
		Temple de Zeus de Pergamon exposé au Musé de Pergamon a Berlin, Palais 
		impériaux d’Attale et Eumene, le célebre théatre de Pergame[1].
		
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		Apres le petit déjeuner visite de la Mosquée Verte, du Complex Muradiye 
		avec les Tombeaux Impériaux, ces monuments nous fascinent a travers des 
		destins des Princes Ottomants: de Djem Sultan et de Prince Moustapha de 
		Soliman le Législateur. 
		Déjeuner chez Yüce Hünkar Restaurant pour gouter la cuisine la plus 
		raffinée de la Turquie avec le Kebab d'alexandre le Grand. 
		Apres midi, route pour Istanbul et traversée en ferry boote de la Mer 
		Marmara, en arrivant a Istanbul contemplation de la ville de la Colline 
		de Çamlıca ou nous goutons le the au samovar de la Mer Noire dans les 
		pavillons des sultans ou les sultans arrivaient avec leur harem. 
		Diner et logement a notre hotel**** a Istanbul.
		
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		Apres le petit déjeuner, journée libre selon les horaires de retour; 
		transfert vers l’aéroport.
		
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		·       
		
		
		Prix des Voyages, Circuits TransAnatolie en Turquie, 
		Produits de voyage en Turquie  
		ou  
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		Contact TransAnatolie. 
		
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		·       
		9 jours, 8 nuitée pension complete dans 
		les hotels de charme ou  4*. 
		·       
		Diner premier soir,petit déjeuner du 
		dernier jour+ gouter de baklava- nombrile de femme. 
		·       
		Entrées des sites et des musées prévus, 
		service d’un guide conférencier universitaire parlant la langue du 
		groupe.  
		·       
		transport en Turquie d’un bus 403 Mersedes 
		ou similaire de confort de tourisme. 
		
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		·       
		Boissons dans les hotels et restaurants, 
		·       
		Pourboires, 
		·       
		Transports en Europe, vol Europe –Istanbul A/R, 
		Assurances,taxe d’aéroport.
		
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		Tous les droits sont reserves pour 
		TransAnatolie Tour 
		         
		Cette ville abritait le centre de 4 grands cultes païens 
		: ceux de Zeus, Athéna, Dyonisos et Asklepios. Il y avait en plus le 
		culte de l'Empereur. Culte blasphématoire qui fait dire à Jean 
		que là "est le trône de Satan" (Ap 2:13). Parmi les vestiges découverts 
		à la fin du XIXe Siècle, un grand autel porte de splendides décorations 
		de combats entre les dieux et les géants. D'autres édifices sont dédiés 
		au culte d'Athéna, de Trajan et d'Hadrien, grand persécuteur du peuple 
		chrétien. Jean évoque ces persécutions et les martyrs qui sont tombées 
		dans cette ville (Ap 2:12-17). 
		  
		Cependant, les nicolaïtes occupaient une place dans la communauté 
		chrétienne de Pergame et plusieurs se livraient au culte érotique des 
		idoles, dont celui de Dyonisos, Dieu du vin et des réjouissances dont 
		les bacchannales conduisaient toujours à l'impudicité et aux orgies (sur 
		la photo, stèle d'offrandes à Bacchus retrouvée à Ephèse). 
		Pergame - Apocalypse 2.12-17 
		S’étant installée dans le monde, l’Eglise cesse d’être un témoin pour 
		Christ, et le monde cesse de la persécuter. Quand le monde et l’Eglise 
		s’associent, il ne reste plus aucun motif de persécution. A partir de 
		cette période, l’Eglise dans son ensemble a perdu son caractère céleste... 
		Messages aux 7 Eglises de l’Apocalypse 
		Pergame - Apocalypse 2.12-17 
		Le message adressé à Ephèse montre clairement que si la profession 
		chrétienne a perdu sa position de témoin pour Christ sur la terre, 
		l’abandon du premier amour pour lui en fut l’origine. Dans le message à 
		Smyrne, nous apprenons comment ce déclin fut arrêté pour un temps par la 
		persécution que le Seigneur laissa son Eglise traverser. En même temps, 
		elle fut troublée par des docteurs judaïsants qui cherchaient 
		manifestement à échapper à la persécution du monde en tentant de lier 
		les formes du judaïsme avec les enseignements du christianisme. Pour un 
		temps, la persécution réveilla la fidélité des saints. Néanmoins, le 
		levain du judaïsme, bien qu’alors rejeté avec indignation, fermentait 
		durant la période de Smyrne. Cet effort pour changer l’assemblée 
		chrétienne composée uniquement de vrais croyants, en une 
		pseudo-synagogue juive, composée d’un mélange de croyants et 
		d’incrédules, ouvrirait naturellement la porte de l’Eglise au monde et 
		préparerait ainsi le chemin qui l’amènerait à s’installer dans le monde 
		C’est là la phase suivante du déclin de la profession chrétienne, le 
		caractère dominant de l’Eglise dans la période de Pergame. Une Eglise 
		judaïsée n’est plus un scandale pour le monde. Un peu plus tôt, l’apôtre 
		Paul pouvait écrire : "Si je prêche encore la circoncision, pourquoi 
		suis-je encore persécuté ? - alors le scandale de la croix est anéanti" 
		(Galates 5.11). 
		V. 12 : La présentation de Christ à l’ange de l’église à Pergame fait 
		référence à l’état de l’Eglise dans cette période. Le Seigneur se 
		présente comme "celui qui a l’épée aiguë à deux tranchants". Nous savons 
		par Hébreux 4.12 que l’épée à deux tranchants est une figure de la 
		Parole de Dieu. Le psalmiste peut parler de la Parole comme d’une lampe 
		à son pied (Psaume 119.105). Ici, elle n’est pas vue comme une lumière 
		pour le chemin du chrétien, mais comme une épée qui s’occupe de tout ce 
		qui est contraire à la lumière. La Parole vue comme l’épée a toujours un 
		aspect judiciaire. Elle peut certes être utilisée par l’Esprit pour 
		protéger le chrétien des ruses du diable (Ephésiens 6.11-17), ou, comme 
		dans ce passage solennel, elle peut être utilisée par Christ contre le 
		corps public de la profession chrétienne, à moins qu’il n’y ait 
		repentance. 
		V. 13 : Le Seigneur en vient tout de suite à ce qui est si sérieux à ses 
		yeux. Il dit : "Je sais où tu habites, là où est le trône de Satan". 
		Satan, nous le savons, est le prince de ce monde et il siège là où il 
		gouverne. Son trône n’est pas en enfer comme l’imaginent faussement des 
		poètes. Il siège là où il règne et non dans le lieu où il sera lié quand 
		son trône sera anéanti et le temps de son règne terminé. Il ne règne pas 
		seulement à Rome, ou à Pergame. Son royaume n’est pas limité à un lieu, 
		il s’étend au monde entier. Si l’église professante habite là où est le 
		trône de Satan, nous pouvons être sûrs que l’Eglise a abandonné son 
		caractère d’étrangère et s’est installée dans le monde. 
		Le Seigneur a dit des siens : "Vous n’êtes pas du monde, 
		mais... moi, je vous ai choisis du monde" (Jean 15.19). De plus, le 
		Seigneur Jésus Christ "s’est donné lui-même pour nos péchés, en sorte 
		qu’il nous retirât du présent siècle mauvais" (Galates 1.4). En outre, 
		les chrétiens ont reçu un appel céleste, leur habitation est dans le 
		ciel. L’Eglise appartient au ciel et devrait porter un caractère 
		céleste. Combien c’est alors solennel pour ce qui a la position de 
		l’Eglise devant le monde, d’abandonner l’appel céleste, de rejeter son 
		caractère céleste et de s’installer dans le monde. Il 
		est vrai que le chrétien est dans le monde et, en effet, le Seigneur 
		parle de ses disciples comme étant envoyés dans le monde, car il peut 
		dire au Père "Comme tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi je les ai 
		envoyés dans le monde" (Jean 17.18). Comment donc y a-t-il été envoyé ? 
		Assurément pas pour "habiter" dans le monde, mais pour rendre témoignage 
		à Dieu comme la lumière du monde. Celui qui, quand il était sur la 
		terre, pouvait parler de Lui-même comme "le Fils de l’homme qui est dans 
		le ciel" (Jean 3.13), n’était pas un "habitant" de ce monde. Certes, il 
		marchait sur la terre, mais sa demeure était dans le ciel. L’Ecriture 
		montre d’une manière absolument claire que le monde est le lieu de notre 
		pèlerinage, où nous sommes laissés pour un temps afin de reluire "comme 
		des luminaires dans le monde" (Philippiens 2.15). Habiter dans le monde, 
		c’est chercher à s’y établir comme si c’était notre habitation 
		permanente. 
		Tel était donc l’état solennel de l’Eglise dans la 
		période de son histoire décrite dans le message à Pergame. Elle 
		n’était plus un témoin dans le monde, mais une habitante du monde. 
		Habiter montre le caractère moral de la profession, tout comme 
		l’expression "ceux qui habitent sur la terre", utilisée ensuite dans 
		l’Apocalypse, montre le caractère d’une certaine classe de personnes. 
		Les anges visitèrent Sodome, ayant à y rendre témoignage ; Lot y habita, 
		il trouva là son chez-lui et son caractère fut formé par le lieu où il 
		habitait.   
		S’étant installée dans le monde, l’Eglise cesse d’être un témoin pour 
		Christ, et le monde cesse de la persécuter. Quand le monde et l’Eglise 
		s’associent, il ne reste plus aucun motif de persécution. A partir de 
		cette période, l’Eglise dans son ensemble a perdu son caractère céleste 
		et ne le retrouvera jamais tout au long de son histoire sur la terre ; 
		et il y eut pire, car le christianisme est devenu parmi les hommes 
		simplement un moyen pour élever le niveau des masses et faire prospérer 
		des intérêts matériels. 
		Néanmoins, il y avait encore ce que le Seigneur pouvait approuver, car 
		nous l’entendons dire : "Tu tiens ferme mon nom, et tu n’as pas renié ma 
		foi". Le nom dans l’Ecriture est toujours l’expression de ce qu’est une 
		personne et cela parle de la vérité concernant la personne de Christ. 
		"Ma foi" désigne les grandes vérités du christianisme concernant 
		l’incarnation, la mort et la résurrection de notre Seigneur. 
		En dépit du fait que le corps professant s’était installé dans le monde 
		et avait ainsi abandonné son caractère céleste, l’Eglise, pendant cette 
		période, tenait encore ferme la vérité concernant la personne de Christ 
		et refusa de se laisser entraîner en aucune manière à renier la foi 
		chrétienne. 
		Cela implique toutefois que, à cette époque, il y eut des attaques pour 
		enlever à l’Eglise les grandes vérités du christianisme. L’arianisme qui 
		niait la divinité de Christ, l’apollinarisme qui attaquait son humanité 
		et le nestorianisme qui faisait de notre Seigneur deux personnes, 
		surgirent au quatrième siècle. L’Eglise, en condamnant l’hérésie au 
		cours de différents conciles, tint ferme la vérité concernant la 
		personne de Christ, certains sacrifiant même leur vie plutôt que 
		d’abandonner la vérité. Antipas fut un brillant exemple de ceux dont le 
		Seigneur parle "Mon fidèle témoin, qui a été mis à mort parmi vous, là 
		où Satan habite". Le Seigneur ne pouvait plus parler de l’Eglise dans 
		son ensemble comme "Mon fidèle témoin", mais il y avait encore des 
		individus fidèles. 
		Il est extrêmement encourageant que le Seigneur nous fasse connaître 
		que, si grand que soit le déclin général et si sombre que soit l’époque, 
		il y a toujours des personnes isolées qu’il peut approuver et dont il 
		peut parler comme étant "à lui", et pas seulement comme étant des 
		témoins pour lui, mais de "fidèles témoins". De même l’apôtre Paul, nous 
		donnant des instructions pour un jour de ruine, envisage manifestement 
		l’existence de telles personnes, car il charge Timothée de transmettre 
		la vérité "à des hommes fidèles" (2 Timothée 2.2). 
		La fidélité d’Antipas lui valut une mort de martyr. Il fut un lumineux 
		témoin de Christ dans le monde de Satan et, par là, un brillant exemple 
		de ce que toute l’Eglise aurait dû être dans ce monde ; et par 
		contraste, il condamnait le bas état de l’Eglise. Il est vrai que 
		l’Assemblée n’était pas en association reconnue avec le monde gouverné 
		par Satan, qui avait déjà montré son vrai caractère en mettant à mort le 
		fidèle témoin du Seigneur ; néanmoins, les paroles du Seigneur semblent 
		faire un sérieux reproche à l’Eglise déchue, car il dit de ce fidèle 
		témoin qu’il "a été mis à mort parmi vous, là où Satan habite". C’est 
		comme s’il disait à l’Eglise "vous vivez où Satan habite, mais mon 
		fidèle témoin y est mort". 
		V. 14 : Ainsi, nous comprenons que, si le Seigneur aura toujours des 
		témoins fidèles, à partir de ce moment-là, l’Eglise dans son ensemble 
		est désormais installée dans le monde. Le pas suivant 
		dans le déclin est de composer avec le monde où elle s’est installée.
		On pourrait objecter que le monde avait changé de caractère, 
		puisqu’il avait cessé de persécuter l’Eglise. Ce n’était qu’un 
		changement extérieur, un changement de comportement. Il couvrait sa 
		nudité d’une profession extérieure de christianisme ; de coeur, il 
		demeurait le même : il aimait le péché et haïssait Christ. Néanmoins, 
		l’Eglise ayant abandonné son premier amour était prête à devenir la 
		proie de ses séductions.   
		Ce palier dans le déclin est illustré par l’histoire de 
		Balaam. Cet homme profondément méchant nous est présenté dans les 
		chapitres 22 à 24 des Nombres. Il fut soudoyé par Balak pour maudire le 
		peuple de Dieu. Empêché d’aider Balak à le détruire par les 
		malédictions, il lui enseignait comment en provoquer la chute par la 
		corruption. Contraint de donner la pensée de Dieu quant à Israël, il 
		avait dit "Voici, c’est un peuple qui habitera seul, et il ne sera pas 
		compté parmi les nations" (Nombres 23.9). C’était cette barrière entre 
		Israël et le monde que Balaam essayait de renverser. L’association avec 
		le monde que Moab représente, est la doctrine de Balaam. Pour s’assurer 
		"le salaire d’iniquité" (2 Pierre 2.15), il enseigne à Balak "à jeter 
		une pierre d’achoppement devant les fils d’Israël", en renversant le mur 
		de séparation et en établissant ainsi des relations entre Israël et les 
		nations (Nombres 31.16). Balak agit selon ce conseil pervers et on en 
		trouve le résultat dans le chapitre 25 des Nombres. Au lieu de chercher 
		à soulever une opposition plus violente contre Israël, Balak permet au 
		peuple de s’installer dans son pays. Ainsi, nous lisons : "Israël 
		habitait en Sittim" (Nombres 25.1), ville des plaines de Moab (Nombres 
		33.49). Installé dans le pays de Moab, le peuple de Dieu 
		tombe dans les voies idolâtres et impies de ce monde. Il en va de 
		l’Eglise comme d’Israël : elle s’est installée dans le monde, elle y 
		habite, elle a contracté une alliance impie avec lui et adopte son 
		idolâtrie. Ainsi, à cette étape de l’histoire de l’Eglise, des hommes 
		ont été laissés libres d’enseigner qu’il serait avantageux pour l’Eglise 
		et pour le monde que les chrétiens se mêlent aux hommes du monde. 
		Il pouvait y avoir des protestations isolées, mais il n’y avait plus 
		d’opposition générale à ces faux docteurs. Le Seigneur ne dit pas comme 
		à Ephèse : "Tu hais" ou "Tu as éprouvé ceux qui se disent apôtres... et 
		tu les as trouvés menteurs" (2.2), mais : "Tu as là des gens qui 
		tiennent la doctrine de Balaam". Des faux docteurs étaient tolérés et de 
		mauvaises pratiques suivirent. Comme toujours, une doctrine mauvaise 
		conduit à une pratique mauvaise. 
		V. 15: Balaam enseignait au peuple de Dieu à s’associer 
		au monde. En outre, la période de l’histoire de l’Eglise représentée par 
		Pergame, fut marquée par ceux qui tenaient la doctrine des Nicolaïtes. 
		Leur doctrine perverse était manifestement de tourner la grâce de Dieu 
		en licence. Au début, cela se montra par l’introduction dans le milieu 
		chrétien de pratiques immorales venant du monde païen. Ces pratiques 
		dissolues étaient haïes et rejetées à Ephèse. A Pergame, ce mal 
		affreux avait pris une forme plus subtile, cette licence ayant le 
		support de la doctrine. Pierre fait probablement référence aux docteurs 
		de cette doctrine perverse quand il avertit l’Eglise qu’il "y aura parmi 
		vous de faux docteurs qui introduiront furtivement des sectes de 
		perdition" et il ajoute "Plusieurs suivront leurs excès" (2 Pierre 2.1, 
		2). 
		On ne peut absolument pas ajouter foi aux allusions à la secte des 
		Nicolaïtes que l’on trouve dans les écrits profanes ; c’est pourquoi, il 
		est difficile d’y glaner quoi que ce soit de sûr concernant ces 
		personnes. Pour cette raison, certains ont pensé que le mot est pris 
		dans un sens symbolique. Ils disent que le mot signifie "conquérants du 
		peuple" et se réfère à la naissance du cléricalisme. Contre cette 
		manière de voir, nous devons nous souvenir que l’étymologie du mot est 
		fondée sur de simples suppositions. 
		A terme, la tolérance de ces fausses doctrines ouvre la voie de façon 
		inévitable à l’union de la profession chrétienne, dans ses dernières 
		étapes, avec le monde : l’Eglise s’est avilie en tombant dans 
		l’idolâtrie du monde, et le monde s’est donné un vernis extérieur de 
		respectabilité en adoptant la profession chrétienne. 
		V. 16: Suivent des avertissements et un appel à la repentance. Si cet 
		appel n’est pas entendu, le Seigneur viendra à ce corps professant comme 
		un juge, et promptement. Il ne s’agit pas là de la venue du Seigneur qui 
		va effectivement enlever au ciel ceux qui constituent son Eglise, son 
		Corps ; - et l’Ecriture dit que cette venue aura aussi lieu promptement. 
		Il viendra à Pergame d’un point de vue moral et agira judiciairement 
		contre ceux qui corrompent la profession chrétienne. Il ne dit pas : Je 
		combattrai contre "toi" mais : Je combattrai contre "eux". Si l’Eglise 
		n’a plus de puissance pour s’occuper des faux docteurs et des méchants, 
		le Seigneur peut agir directement pour ôter le mal et maintenir 
		l’honneur de son nom. Ce jugement sera exécuté par l’épée de sa bouche. 
		Ces faux docteurs seront démasqués et condamnés par la Parole de Dieu. 
		La Parole qui est une lumière et une consolation pour ceux qui lui 
		obéissent, devient une épée pour condamner ceux qui méprisent ses 
		avertissements et ses instructions. 
		  
		V. 17: L’invitation à écouter ce que l’Esprit dit aux assemblées est 
		suivie de la promesse au vainqueur, liée à "la manne cachée", au 
		"caillou blanc" et au "nouveau nom". 
		La manne était la provision de Dieu venant du ciel pour nourrir Israël 
		durant son voyage dans le désert. Spirituellement, nous savons que 
		Christ est "le pain qui est descendu du ciel" (Jean 6.58) pour être la 
		nourriture de son peuple dans le désert. La manne présente Christ venu 
		ici-bas, non seulement dans la condition humaine - à part le péché - 
		mais aussi dans les circonstances d’ici-bas pour connaître tout ce que 
		nous avons à rencontrer dans un monde déchu. La "manne cachée" fait 
		référence à l’omer de manne qui était placé dans l’arche en mémorial. 
		Christ est maintenant exalté dans le ciel ; il n’est plus vu dans 
		l’humiliation. Cependant le privilège du vainqueur est de savoir que 
		celui qui est maintenant dans la gloire, fut autrefois dans le désert où 
		il parcourut son chemin solitaire, débonnaire et humble, et rencontra le 
		mépris d’un monde hostile et la contradiction des pécheurs. 
		Hélas ! Le corps professant s’était installé dans le monde pour y 
		trouver son chez-soi ; il s’associait à lui par une alliance impie et 
		mangeait des choses sacrifiées aux idoles. Le vainqueur refuse de se 
		laisser entraîner dans le monde qui est toujours pour lui un désert 
		qu’il traverse en n’étant qu’étranger et pèlerin. Ayant refusé de manger 
		les choses sacrifiées aux idoles, il reçoit la promesse du Seigneur : 
		"Je lui donnerai de la manne cachée". 
		Ensuite, le Seigneur dit : "Je lui donnerai un caillou 
		blanc". C’est sans doute là une image : lors d’une élection, le 
		citoyen déposait un caillou dans l’urne, blanc ou noir selon qu’il 
		approuvait le candidat ou non. Cette image exprime que la pensée du 
		Seigneur donne au vainqueur le sentiment de son approbation. Le 
		vainqueur peut certes se heurter à la désapprobation des hommes quand il 
		résiste à l’alliance impie de l’Eglise avec le monde ; cependant, la 
		pensée de l’approbation du Seigneur exprimée par le caillou blanc sera 
		pour lui un encouragement. 
		De plus, sur le caillou se trouve un nouveau nom écrit. Les noms dans 
		l’Ecriture ne sont pas utilisés simplement pour distinguer une personne 
		d’une autre, mais pour montrer le caractère particulier d’une personne. 
		Le nouveau nom n’indique-t-il pas le caractère que Christ voit et 
		apprécie chez celui à qui il donne un nouveau nom ? Le monde peut 
		diffamer et chercher à attribuer de mauvais motifs au vainqueur qui 
		refuse d’aller avec la foule pour faire le mal. Quoi qu’il en soit, le 
		Seigneur donne au vainqueur la joie secrète de réaliser que son vrai 
		caractère est connu et apprécié par lui-même. 
		Hamilton Smith (1863-1943)[1]
		
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            Les archéologues, les historiens d’art présentent la Turquie comme le berceau de 
nombreuses civilisations, comme un carrefour de diverses cultures, comme le pays 
natal du blé, comme le pays natal de l’alliage.Découvrir la Turquie, c’est de faire connaissance à la fois avec le monde
de la première Déesse Mère de Çatalhoyuk-Konya, avec les premières
capitales des Hittites: Acemhoyuk–Hattusas, avec Hector, Achille, Päris, la
Belle Hélène et l’histoire du Cheval de Troie, avec Ulysse, l’Iliade et
l’Odyssée, avec le Monde gréco-romano-anatolien d’Aspasie, muse de la
democratie de Perikles et avec Thales de Milet, avec Apollon de Didymes, avec
Athéna à Priene, avec Artémis et Héraclite d’ Ephese, avec Homère de
    Smyrne sans oublier Byzance–Constantinople–Istanbul.
 TransAnatolie a l’ambition de vous faire découvrir ce merveilleux pays avec une 
approche fondamentalement différente des habitudes du tourisme de masse, des 
habitudes des sentiers battus.
 
			Voyager en Turquie avec TransAnatolie vous plongera dans le bain de trois
grandes religions monothéistes. L’Arche de Noé sur le Mont Ararat ainsi qu’Abraham à Harran et a
    Urfa,
l’ancienne Edesse, vous parleront de l’Ancien Testament. La grande tolérance des Ottomans s’est manifestée pour les Juifs de
l’Espagne mis a la porte pendant la Reconcista Par Isabelle de Castille et
Ferdinand II d’Aragon. Ensuite, ce fut Solïman le Magnifique qui avait fait libérer le Roi de
France, François 1er des prisons de Charles Quin. Le Nouveau Testament peut être suivi à la trace sur les Pas de Saint Paul
et dans les premières églises en Cappadoce, Phrygie, Lydie, Tarse, Antioche,
Psydie et a Ephèse. Voyager en Turquie avec Transanatolie nous montrera l’affection toute
maternelle de la Vierge Marie, a l’Eglise Tokalı dans La Vallée de Mille
et Une Eglises a Göreme. La Vierge Marie, la Mère Myriam des Turcs musulmans. Nous admirerons les danses des Derviches Tourneurs en voyage avec
    TransAnatolie. Nous rencontrerons également la richesse de Crésus, l’espérance
d’immortalité de Gilgamische en Mésopotamie, celle de Memed (Mehmet)
d'Acemhoyuk, sysyphe Anatolien, l’amour de l’Euphrate pour le Tigre sans
oublier les délices de la cuisine turque, l’une des meilleures du Monde. Pendant votre voyage en Turquie, vous trouverez les traces de Darius et
d’Alexandre le Grand tout en faisant connaissance avec le noeud gordien des
tapis turcs-Taspinar, les épices de l’Orient, les merveilles du Monde, les
oiseaux et les plantes rares du Lac Salé, de la Plaine Yesilova-Eskil-Esmekaya,
le monstre du lac de VAN, les caravansérails et les ponts de Marco-Polo sur la
route de la soie,vous trouverez de nouveau votre santé dans les centres
thalasso-termaux: Pamukkale, Kütahya,Ankara Haymana- Kızılcahamam,
Belek-Kemer, Afyon, Bursa, Yalova, Nigde-Ulukisla, Çiftehan, Narligol,
Kemerhisar Tyana Kosk, Kocapinar-Ferhenk, Sivas, Gönen, Emet, Oylat, Hisarcık,
Bolu, Çeşme, Dalyanköy, Ilgın, Aksaray, Ziga. Le Chien Kangal de Sivas, le coq de Denizli, les loups de Cappadoce, les
soldats de Tamerlan et les bergers du Mont Ararat seront les elans de votre
voyage en Turquie avec TransAnatolie. La Turquie européenne de Mustafa Kemal Ataürk vous accueillera en joignant
les normes de l’Occident aux charmes de l’Orient. 
			
			
		i Cliquez sur l'hyperlien pour télécharger les circuits culturels 
			TransAnatolie Tour en Turquie:   
			
			 
			TransAnatolie TourLicence AG du Ministère Turc de la Culture et du Tourisme N° 4938
 
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